Présentation
Histoire de l'école
En 2013, Marie Saulnier, Elisabeth de Chilly et Marie L'Huillier se lancent dans l'idée d'ouvrir l'école de leurs rêves pour leurs enfants: un enseignement de grande qualité, avec de petits effectifs pour un suivi personnalisé,
une dimension catholique très présente et du chant choral.
Elles créent l'Association pour l'Instruction des Enfants du Béarn (AIEB) et Marie L'Huillier se forme auprès de l'association "Créer son école" afin d'effectuer toutes les démarches administratives. L'aventure démarre à la rentrée de septembre 2014 avec 6 élèves et une institutrice-directrice à mi-temps, Mademoiselle Hélène Fabre, dans les locaux du centre paroissial de Lescar. Trois niveaux scolaires sont assurés: CP/CE1/CE2.
En septembre 2015, l'école est accueillie à Gelos dans des locaux scolaires devenus vacants. Tous les niveaux de la petite section au CM2 ouvrent. L'effectif passe à 38 élèves.
En 2021 la blouse est remplacée par un uniforme bleu marine avec un pull bleu ciel au logo de l'école doré et brodé.
Aujourd'hui, en septembre 2022, la Chanterie compte 50 élèves.
Une école catholique
La foi est vécue lors des temps de prière (prière du matin quotidienne en classe),
par la promotion de la charité fraternelle (pardon, partage, entraide, respect…)
et la participation aux temps religieux forts.
L'école assure un cours de catéchisme adapté à l’âge des enfants chaque semaine dès la maternelle. Une attention particulière est portée à la connaissance de l’Histoire Sainte.
Une attention particulière est portée au cycle liturgique. La célébration de messes aux grandes fêtes ou aux dates marquantes de la vie de l’école, pèlerinages ou Chemin de Croix du vendredi saint sont inscrits dans le calendrier de l’école.
Un prêtre est régulièrement disponible pour confesser les élèves qui le souhaitent, célébrer la messe. L'abbé Vacher, habitant dans l'école, est présent au quotidien notamment pour la prière du matin en classe.
Une préparation aux sacrements (baptême, 1ère communion, confirmation) est proposée aux familles qui le souhaitent. Les célébrations peuvent se faire dans le cadre de l’école ou des paroisses.
Des élèves non croyants peuvent intégrer l'école s'ils acceptent de respecter l'identité chrétienne de celle-ci et d'être présents à tous les évènements religieux.
L'école a le soutien bienveillant de Monseigneur Aillet,
évêque du diocèse et du curé de la Paroisse de Gelos l'abbé Nouvel.
Une chanterie
La pratique du chant est une école de maîtrise où l'enfant apprend notamment à écouter les autres, à coordonner sa voix et son oreille et à utiliser son corps. Le chant choral développe aussi chez l'enfant la rigueur, l'écoute, et la concentration, qualités précieuses pour sa scolarité et atouts indéniables pour sa vie professionnelle future.
C'est aussi une école de persévérance où s'exerce le goût de l'effort et du travail bien fait.
Deux concerts sont donnés chaque année: un concert de Noël et un concert de fin d'année.
De 2014 à 2018, les élèves de la Chanterie ont été formés en chant choral par Jean-François Bétis, ancien directeur des petits chanteurs de Versailles.
Entre 2018 et 2020, c'est Hélène Fabre qui a pris la direction du choeur.
Depuis septembre 2021, Estelle Lanoue, musicienne et professeur de chant, dirige les enfants.
AIEB
L'Association pour l'Instruction des Enfants du Béarn (AIEB)
est l'association de gestion de l'école.
Elle s'occupe de gérer le budget, les salariés, les locaux, tous les aspects administratifs et donne les grandes orientations générales.
Elle est dirigée par un conseil d'administration constitué d'une dizaine de personnes dont les mamans fondatrices.
Olivier Robinet est le président du conseil d'administration.
Madeleine Passot directrice de la Chanterie, un représentant des parents ainsi qu'un représentant des institutrices assistent à toutes les réunions du conseil qui se tiennent une fois par mois.
FAQ
Votre école est-elle légale ?
La Chanterie répond aux obligations légales de déclaration en mairie, au procureur de la république, à l'inspection académique. L'ouverture d'une école indépendante est prévue par la loi et constitue un droit en France.
L'école est régulièrement inspectée et contrôlée par les services de l'état.
Pour l'entrée en 6ème, vos élèves ont-ils des difficultés à intégrer les collèges environnants ?
Tous les élèves sortants de la Chanterie ont vu leurs dossiers acceptés dans les collèges où ils avaient postulé.
Les collèges sont très satisfaits du niveau scolaire des anciens de la Chanterie et de leur bon esprit.
Une école indépendante a une entière liberté pour le recrutement de ses professeurs et pour le choix de ses méthodes pédagogiques, qu'est-ce-que cela signifie ?
Écoles publiques et écoles privées sous-contrat ont des professeurs formés sensiblement de la même manière, ayant passé les mêmes concours de recrutement devant les mêmes examinateurs, selon les mêmes critères. Ces enseignants sont contrôlés par l'Inspection académique.
Dans le privé sous-contrat, les enseignants titulaires ont un statut public qui les fait dépendre non pas du chef d'établissement (qui n'a aucun pouvoir hiérarchique sur eux) mais de l'Éducation nationale (qui a pouvoir sur leur notation, donc leur salaire, et leurs prochaines nominations). Les professeurs titulaires qui ne correspondent pas aux exigences académiques, éducatives ou spirituelles de l'établissement ont, comme dans le public, tout moyen pour se maintenir néanmoins dans l'établissement.
A contrario, les écoles indépendantes recrutent en toute liberté leurs professeurs, ce qui permet au directeur de constituer des équipes cohérentes et unies, travaillant main dans la main pour le bien des enfants.
Les professeurs sont laissés libres de leurs moyens pédagogiques (ils peuvent s'adapter avec beaucoup de réactivité et de souplesse aux besoins des enfants, voire de chaque enfant, sans avoir de lourdeur administrative à subir).
Ils peuvent travailler par groupes de niveau notamment, et en petit effectif.
Les parents et la direction sont très attentifs aux résultats académiques et à l'épanouissement des enfants. Les professeurs en sont tenus directement comptables, étant libres des moyens qu'ils ont mis en œuvre, ce qui concourt à la qualité de l'enseignement.
Les horaires sont adaptés en fonction des besoins du terrain, et non selon des directives nationales. Ainsi, les matières fondamentales bénéficient de plus d'heures que dans les écoles ordinaires.